J’ai l’honneur de venir par la présente, porter à la connaissance de l’Union universelle des Postes, les graves violations de confiscation contre mes courriers, par les services postaux de Bergen. Je suis plusieurs fois victime d’insupportables confiscations par les services postaux bergenois, qui confisquent mes courriers, qui me viennent, surtout de l’Europe.
La confiscation des courriers se fait avec la complicité des milieux de renseignements, et aussi en liaison avec l’Université de Bergen. C’est pourquoi, je dénonce la violation des accords postaux internationaux, qui sécurisent des correspondances entre l’expéditeur et le destinataire.
Pour rappeler, la Norvège a été signataire des accords postaux, parmi lesquels celui de juillet 1924, qui l’a réunie autour de la table avec le Danemark et la Suède. Il a progressivement ainsi abrité la Poste et ses succursales de vente, d'envoi et de réception, de stockage et d’expédition des colis et correspondances. Mais, il se passe d’énormes détournements de mes courriers en provenance de l’Union Européenne, et ceux-ci sont de nature terrorisante. Les courriers n’arrivent pas dans ma boîte postale, ils sont soit retenus, soit c’est le bout de l’envéloppe qui est déposé sans son contenu. Ils sont alors systématiquement confisqués à l’arrivée à Bergen, pour des raisons qui relèvent d’injustice et d’indifférence, et qui relèvent purement du mépris, de privation et des méthodes oppressives.
Ces méthodes se pratiquent aussi sur mes communications électroniques et téléphoniques : ma boîte électronique est systématiquement mise en défriches par les milieux de recherche de Bergen et les services informatiques affiliés. Ces défriches s’emplissent ardemment du contenu de mes communications téléphoniques, par la mise à l’écoute téléphonique, en telle enseigne que tout interlocuteur et moi, ne nous entendions que dans un vacarme tympanisant. Ce vacarme agit sur le conduit auriculaire, et crée des douleurs otalgiques à effets piquants.
C’est injuste que ces milieux ci-haut cités se livrent abusément sur mes communications, dont la production d’informations est constatée dans les diffusions de certaines chaînes et les presses locale et universitaire de Bergen. Cette mise à l’écoute du téléphone mobile a été signalé dans nos articles du 15 juillet et du 09 décembre 2009. Le contenu de mes communications leur fait du blé par sa consommation, en tout cas illicite, et surtout par les centres universitaires de Bergen.
Il est impératif de noter que depuis l’inauguration, le 4 novembre 2009, de Laboratoire informatique de programmation linguistique à Bergen, publiée par På Høyden, en titre : « Bergen laboratorium for språkdesign (BLDL) », le 01. 11. 2009, la situation des mises à l’écoute des communications téléphoniques devient invivable. Elle n’est pas aisée, mais significative. Les communications avec ma famille et ami(e)s sont perturbuées et toujours suivies.
Dans ce terrorisme communicationnel, il faut noter que, entre 4 août et 28 septemdre 2009, mes textes de projet de recherche et un support IPONES de dance traditionnelle sont piratés de mon email. Le Recteur de l’Université de Bergen est très conscient, et il est responsable de l’utilisation de cette expropriété intellectuelle, ainsi que du support IPONES de dance, produit au Tchad. Je voudrais profiter pour indexer sa responsabilité dans cette piraterie et esclavage intellectuel. Il a lui-même déjà déterminer les indices d’utilisation des objets piratés dans les articles et manifestations d’activités culturelles universitaires à Bergen : L’année 2010 c’est l’ANNÉE thématique de justice aux victimes.
Par ailleurs, l’existence et l’importance de l’Union Postale internationale ne sont pas seulement de s’assurer du profit commercial, mais elle a aussi des obligations de distribuer tout courrier dans de conditions adéquates au destinataire. Ces conditions sont malheureusement à-vau-l’eau à Bergen, puisque les correspondances ou les livres commandés ne me parviennent pas. Ils sont systèmatiquement stoppés en chemin par force.
Cette souffrance traduit en fait, très singulièrement, la volonté des autorités communales de nuire à toute réception des correspondances. Je le vis particulièrement depuis la fin de 2007, auquel ce sont précisement les institutions précitées qui exercent cette force. On n’est pas loin d’administration terrifiante et spécialisée dans la confiscation de mes courriers, la piraterie de mes textes depuis le contenu d’email, et la table d’écoute téléphonique. C’est là la menace terroriste contre ma personne, et c’est à juste titre qu’elle enfreigne à ma liberté et droit culturels et communicationnels. Ils dépassent mon entendement, et que compte tenu des hostilités par moyens informatiques qui sévissent, je suis inquiété, parce que j’ai déjà échappé à trois tentatives d’empoisonnements (une en Aix-en-Provence le 25 avril 2009 et deux à Bergen en mars et le 28 juin 2009).
Ensuite, je ne sais à quelles fins, ces pratiques malveillantes de confiscation de mes courriers, et des livres commandés auprès de STUDIA (Librairie studiantine) de Bergen ou d’ailleurs, peuvent-elles leur être utilement honnêtes? Il se passe en effet sous les yeux de la police de Hordaland, qui est aussi une des actrices dans cette confiscation.
Je voudrais là faire comprendre aux experts des Postes internationales que je suis placé dans l’immobilisme oppresseur, et que je ne reçois pas mes courriers en provenance de l’UE et d’Afrique. Les réseaux norvégiens de distribution et de renseignements pratiquent cette confiscation sans respect de responsabilité juridique commerciale à l’endossement des envéloppes venant de l'Union Européenne. On est en conséquence loin de la conscience professionnelle postale à Bergen. Tout se fait impunément qu’aussi clairement entre individus de la commune, de l’Université, et des postiers assurant la distribution des courriers.
Il faut rappeler qu’ils utilisent la privation de liberté culturelle et matérielle, comme frein au développement de droit culturel. Ces individus, à travers leurs institutions, n’ont que la seule maxime, qui est celle d’arracher tout de quelqu’un. Il faut dire en plus que, mes courriers en provenance d’Oslo sont de même dérobés par les mêmes centres. C’est l’exemple des dossiers de famille expédiés d’Utlendingsdepartementet (UDI) d’Oslo, par la chargée du traitement de dossiers, Madame Edle Vågen OXHOLM (Førstekonsulent, Serviceenheten) depuis février 2009. Elle a écrit pour me dire que l’envéloppe contenant les pièces de dossiers, vienne d’être expédiée en retour, après attribution du numéro DUF, selon ses termes, dans l’email du mercredi 25 Février 2009 à 15 h 18 mn 57s. Ce que j’attendais vainement jusqu’à l’heure où je publie ces lignes.
Et comme, je n'ai fait aucune réception d’envéloppe quelconque, venant du Ministère d’Immigration norvégien, sous la philatélie de la Poste d’Oslo et sous la plume de Madame Edle Vågen OXHOM, j'étais obligé d’en signaler la non réception de la dite envéloppe. En réponse, cette responsable de l’UDI n’a pas répondu directement, mais elle a par contre laissé une de ses collègues de services m’écrire : que les dossiers ne vont pas être traités. Par ailleurs dans la même semaine, je lis dans un article de Bergen Student Jussformidling, qui ravale le contenu des dossiers. Ce qui explique par là, que les autorités postales de Bergen laissent le contenu des dossiers à la portée de leurs enfants, sans s’en soucier des accords portaux internationaux qui protègent et garantissent, sans autre forme de procès, les droits de l'expéditeur et du destinataire de se correspondre librement. Ces ignorances autoritaires permettent de comprendre la nature de l’écologie humaine, dans laquelle le destinataire est fréquemment confronté, et aussi de se poser la question sur les inter-ingérences entre la Poste et les milieux cités.
Ce n’est pas ahurissant ! Telle est aussi la relation entre l’Institut d’histoire et ces dits milieux, qui était telle que, j’ai été utilisé comme un « rat de nuit » (cobaille) en sale de séminaire le 01 mars 2008. L’on ne peut pas compter le nombre des poursuites dans des boutiques par les gardiens et dans les rues par la police. Résultat : mon arrestation arbitraire par la police de Bergen le 09 août 2008 le prouve.
La police m’a collé au violon après m’avoir séquestré, fouillé et ménotté en public, où j’ai été libéré au lendemain 10 août 2008 vers 11 heures 30 minutes. J’ai par la suite instruit une plaine près le Tribunal d’Oslo qui reste lettre morte. Alors, qu’en est-il lors de l’expédition du courrier en recommandée au dit Tribunal ? Comment les faussetés policières se sont-elles organisées pour bloquer la plainte à Bergen? Le norvégien n’aime pas écouter les mots droit et justice, mais il demeure aussi le premier qui n’aime pas voir progresser quelqu’un, et lui érige de plus, de tout bord des obstacles. Il est souvent uni aux autres autour du faux, et que la victime ne doit s’en plaindre, ni en parler, voire ni en appeler au droit et à la justice.
Cela dit, le jour où je suis allé pour expédier la plaine au Tribunal d’Oslo, la jeune femme qui assurait les services dans « Spar Butikk : Øy Jørden, Lundtorget AS, n° 967 077 615, Tel : 55 95 12 69 », a insinué l’enrégistrement de l’enveloppe. Car elle l’a simplement fichée à l’attention du postier, pour que la plainte n’arrive pas à Oslo. Cette attitude subtile paraissait à l’accoutumée, et qu’au lendemain, le SV-Nestleder (le sécretaire adjoint du Parti Socialiste norvégien de Bergen) psalmodiait sur la Télévision NRK, et en matinée un État-Major se réunit, sans que tous cherchent à savoir pourquoi, j’ai instruit la plainte contre Jørgen et son équipe et les portiers.
Pour ce secrétaire, il faut aller de la leçon du mythe des croyances de Max WEBER pour détourner la réalité, ce qui veut dire une offense qu’une revendication de justice de ma part. Et comme, c’est la méthode collective ici, le contenu de ma plainte a été utilisé par le Fylkeskommunen de Hordaland et un avocat d’Oslo, pour conférer dans l’hotel à Bergen (une brochure était émise pour la circonstance) ; c’est à ce moment-là que les uns et les autres se reveillent sur les droits civiles et politiques des réfugiés comme tout citoyen (brochure). Ce n’est pas étonnant quand une responsable dans une réunion politique à Fana (commune), disait publiquement que les « réfugiés sous mandat du UNHCR sont une boutique aux communes ».
Mais, le rejet de faire justice définit sans détour le comportement escroc et frauduleux de l’administration en place, où tout agent agit rassuré parce que protégé, et que l’illégalité détermine l’injustice, au su du gouvernement et de l’Assemblée. L’on pense que la violation des Droits de l’homme ne concerne uniquement que, quand on enlève la vie à un individu. Mais la violation de la législation nationale et internationale est toute permise : ce que défend cette administration. Ce qui traduit parfaitement égalament la position de l’avocat d’Oslo convié à cette conférence à Bergen. Cela voudrait dire que les hommes politiques eux-mêmes récusent le droit et la justice. D’où ces faits anti-judiciaires marquent la discrimination historique par des pouvoirs publics et privés et d’autres ailes. Ces dernières encouragent impunément le banditisme, la rapine des courriers et l’injustice, quant à scruter la non réception des correspondances en provenance de l’UE.
Il y a eu en décembre 2009, un courrier qui m’est encore refusé sans motif, or l’arrivée du livre m’est bien notifié par STUDIA, notamment avec toute preuve de prendre le livre à la caisse. Cette fois-ci c’est le co-directeur de la Librairie qui me refuse le colis (Le livre d’Alan THOMAS et Giles MOHAN (eds.) (2007): Research skills for policy and development: how to find out fast..., (Los Angeles, California: The Open University in association with SAGE).
Alors, les pouvoirs centraux s’en passent des mesures judiciaires directes pour réprimer l’injustice orchestrée délibérement à cet effet, par la Poste et l’administration nationales. Cette injustice fait lettres de noblesse, en d’autre terme sur des courriers qui me sont de provenance eurocentrale.
Un autre courrier vient de m’être envoyé dans les 15ers jours de novembre 2009, et il n’y a que l’extrême du bout triangulaire de l’endossement de l’envéloppe, qui m’est déposé dans la boîte postale. Ils ont soustrait la partie portant la nomenclature du pays et la philatelie, afin que je ne sache pas la nature du courrier et sa provenance, tout en laissant simplement la date sur le flanc. Dans le temps, c’est Madame la Ministre de l’Éducation nationale qui s’initie, à son tour du contenu de l’envéloppe à partir de Bergen. Elle s’en est inspirée grâce au courrier retourné par l’Institut Européen d’Administration (France).
Il y a un exemple probant qui défrait en sourdine la chronique en matière des bourses aux réfugiés sous mandat du UNHCR, qui sont transformées en dette d’études au lieu de bourses d’études. Les bourses sur lesquelles les directions de bourses escroquent et fraudent aussi les bourses d’équipement par un calcul diabolique ayant effet sur le montant des bourses elles-mêmes. Un usage de faux documents et de faux courriers sont numérateurs (Bergen Lånekassen).
Quelle est cette inhibition intellectuelle ? Il est simple. C’est la méthode d’expropriation qui consiste à empêcher les autres de progresser et de leur bloquer tout dépassement impulsif. La méthode est déjà utilisée maintes fois, et elle est très accentuée sur tout ce que reconnaît, l’article 30 de la Convention des Nations Unies pour le réfugiés du 28 juillet 1951 de Genève. C’est en fait du prendre et du donner plutôt à ces enfants qu’aux ayants droit (www.nytid.no, « praksis må endres », la pratique doit changer). Comment peut-on avaler ces couleuvres sur des violations des accords internationaux?
Le problème est bien cuisant, puisque les presses font des tapages médiatiques soutenant la phagocytose des réalités, tels qu’ils éblouissent l’opinon bercée d’indifférence professionnelle. Ces tapages contribuent égalament au refus du livre commandé chez la Librairie STUDIA de Bergen. Voilà une ségrégation contre mes droits culturels par des intellectuels, qui se sont d’ailleurs inspirés du livre, leur permettant de remplir les rayons de la Librairie en pille d’autres livres ; et qui traitent des mêmes thématiques de politique et de développement sur l’Afrique, tandis que le livre en question m’est physiquement refusé.
Enfin, je voudrais avoir l’honneur de porter à la connaissance de la Directrice Générale de l’UNESCO, d’un peu se pencher sur ces faits, puisqu’une telle discrimination ne saurait pas stimuler la lutte contre l’analphabétisme, qui demeure le chantier d’haleine commun, qu’est « l’éducation de qualité et le développement des compétences utiles » (UNESCO, Projet 2010, 182 EX/16).
Quelle est l’action de l’UNESCO en Norvège? Pourraît-elle aussi tolérer cette espèce de ségrégation d’accès aux outils de recherhce, d’études et de formation? Ces autorités norvégiennes qui excercent cette telle idéologie datée sont-elles à même de me dire, pourquoi elles m’infligent ces méfaits historiques? Pourquoi utilisent-elles des outils informatiques pour me priver de mon droit culturel par mépris et injustice ?
Kaguer NAGUER
Bergen (Norvège)
Tel : +4745912609
Email : barbabili@yahoo.fr
La confiscation des courriers se fait avec la complicité des milieux de renseignements, et aussi en liaison avec l’Université de Bergen. C’est pourquoi, je dénonce la violation des accords postaux internationaux, qui sécurisent des correspondances entre l’expéditeur et le destinataire.
Pour rappeler, la Norvège a été signataire des accords postaux, parmi lesquels celui de juillet 1924, qui l’a réunie autour de la table avec le Danemark et la Suède. Il a progressivement ainsi abrité la Poste et ses succursales de vente, d'envoi et de réception, de stockage et d’expédition des colis et correspondances. Mais, il se passe d’énormes détournements de mes courriers en provenance de l’Union Européenne, et ceux-ci sont de nature terrorisante. Les courriers n’arrivent pas dans ma boîte postale, ils sont soit retenus, soit c’est le bout de l’envéloppe qui est déposé sans son contenu. Ils sont alors systématiquement confisqués à l’arrivée à Bergen, pour des raisons qui relèvent d’injustice et d’indifférence, et qui relèvent purement du mépris, de privation et des méthodes oppressives.
Ces méthodes se pratiquent aussi sur mes communications électroniques et téléphoniques : ma boîte électronique est systématiquement mise en défriches par les milieux de recherche de Bergen et les services informatiques affiliés. Ces défriches s’emplissent ardemment du contenu de mes communications téléphoniques, par la mise à l’écoute téléphonique, en telle enseigne que tout interlocuteur et moi, ne nous entendions que dans un vacarme tympanisant. Ce vacarme agit sur le conduit auriculaire, et crée des douleurs otalgiques à effets piquants.
C’est injuste que ces milieux ci-haut cités se livrent abusément sur mes communications, dont la production d’informations est constatée dans les diffusions de certaines chaînes et les presses locale et universitaire de Bergen. Cette mise à l’écoute du téléphone mobile a été signalé dans nos articles du 15 juillet et du 09 décembre 2009. Le contenu de mes communications leur fait du blé par sa consommation, en tout cas illicite, et surtout par les centres universitaires de Bergen.
Il est impératif de noter que depuis l’inauguration, le 4 novembre 2009, de Laboratoire informatique de programmation linguistique à Bergen, publiée par På Høyden, en titre : « Bergen laboratorium for språkdesign (BLDL) », le 01. 11. 2009, la situation des mises à l’écoute des communications téléphoniques devient invivable. Elle n’est pas aisée, mais significative. Les communications avec ma famille et ami(e)s sont perturbuées et toujours suivies.
Dans ce terrorisme communicationnel, il faut noter que, entre 4 août et 28 septemdre 2009, mes textes de projet de recherche et un support IPONES de dance traditionnelle sont piratés de mon email. Le Recteur de l’Université de Bergen est très conscient, et il est responsable de l’utilisation de cette expropriété intellectuelle, ainsi que du support IPONES de dance, produit au Tchad. Je voudrais profiter pour indexer sa responsabilité dans cette piraterie et esclavage intellectuel. Il a lui-même déjà déterminer les indices d’utilisation des objets piratés dans les articles et manifestations d’activités culturelles universitaires à Bergen : L’année 2010 c’est l’ANNÉE thématique de justice aux victimes.
Par ailleurs, l’existence et l’importance de l’Union Postale internationale ne sont pas seulement de s’assurer du profit commercial, mais elle a aussi des obligations de distribuer tout courrier dans de conditions adéquates au destinataire. Ces conditions sont malheureusement à-vau-l’eau à Bergen, puisque les correspondances ou les livres commandés ne me parviennent pas. Ils sont systèmatiquement stoppés en chemin par force.
Cette souffrance traduit en fait, très singulièrement, la volonté des autorités communales de nuire à toute réception des correspondances. Je le vis particulièrement depuis la fin de 2007, auquel ce sont précisement les institutions précitées qui exercent cette force. On n’est pas loin d’administration terrifiante et spécialisée dans la confiscation de mes courriers, la piraterie de mes textes depuis le contenu d’email, et la table d’écoute téléphonique. C’est là la menace terroriste contre ma personne, et c’est à juste titre qu’elle enfreigne à ma liberté et droit culturels et communicationnels. Ils dépassent mon entendement, et que compte tenu des hostilités par moyens informatiques qui sévissent, je suis inquiété, parce que j’ai déjà échappé à trois tentatives d’empoisonnements (une en Aix-en-Provence le 25 avril 2009 et deux à Bergen en mars et le 28 juin 2009).
Ensuite, je ne sais à quelles fins, ces pratiques malveillantes de confiscation de mes courriers, et des livres commandés auprès de STUDIA (Librairie studiantine) de Bergen ou d’ailleurs, peuvent-elles leur être utilement honnêtes? Il se passe en effet sous les yeux de la police de Hordaland, qui est aussi une des actrices dans cette confiscation.
Je voudrais là faire comprendre aux experts des Postes internationales que je suis placé dans l’immobilisme oppresseur, et que je ne reçois pas mes courriers en provenance de l’UE et d’Afrique. Les réseaux norvégiens de distribution et de renseignements pratiquent cette confiscation sans respect de responsabilité juridique commerciale à l’endossement des envéloppes venant de l'Union Européenne. On est en conséquence loin de la conscience professionnelle postale à Bergen. Tout se fait impunément qu’aussi clairement entre individus de la commune, de l’Université, et des postiers assurant la distribution des courriers.
Il faut rappeler qu’ils utilisent la privation de liberté culturelle et matérielle, comme frein au développement de droit culturel. Ces individus, à travers leurs institutions, n’ont que la seule maxime, qui est celle d’arracher tout de quelqu’un. Il faut dire en plus que, mes courriers en provenance d’Oslo sont de même dérobés par les mêmes centres. C’est l’exemple des dossiers de famille expédiés d’Utlendingsdepartementet (UDI) d’Oslo, par la chargée du traitement de dossiers, Madame Edle Vågen OXHOLM (Førstekonsulent, Serviceenheten) depuis février 2009. Elle a écrit pour me dire que l’envéloppe contenant les pièces de dossiers, vienne d’être expédiée en retour, après attribution du numéro DUF, selon ses termes, dans l’email du mercredi 25 Février 2009 à 15 h 18 mn 57s. Ce que j’attendais vainement jusqu’à l’heure où je publie ces lignes.
Et comme, je n'ai fait aucune réception d’envéloppe quelconque, venant du Ministère d’Immigration norvégien, sous la philatélie de la Poste d’Oslo et sous la plume de Madame Edle Vågen OXHOM, j'étais obligé d’en signaler la non réception de la dite envéloppe. En réponse, cette responsable de l’UDI n’a pas répondu directement, mais elle a par contre laissé une de ses collègues de services m’écrire : que les dossiers ne vont pas être traités. Par ailleurs dans la même semaine, je lis dans un article de Bergen Student Jussformidling, qui ravale le contenu des dossiers. Ce qui explique par là, que les autorités postales de Bergen laissent le contenu des dossiers à la portée de leurs enfants, sans s’en soucier des accords portaux internationaux qui protègent et garantissent, sans autre forme de procès, les droits de l'expéditeur et du destinataire de se correspondre librement. Ces ignorances autoritaires permettent de comprendre la nature de l’écologie humaine, dans laquelle le destinataire est fréquemment confronté, et aussi de se poser la question sur les inter-ingérences entre la Poste et les milieux cités.
Ce n’est pas ahurissant ! Telle est aussi la relation entre l’Institut d’histoire et ces dits milieux, qui était telle que, j’ai été utilisé comme un « rat de nuit » (cobaille) en sale de séminaire le 01 mars 2008. L’on ne peut pas compter le nombre des poursuites dans des boutiques par les gardiens et dans les rues par la police. Résultat : mon arrestation arbitraire par la police de Bergen le 09 août 2008 le prouve.
La police m’a collé au violon après m’avoir séquestré, fouillé et ménotté en public, où j’ai été libéré au lendemain 10 août 2008 vers 11 heures 30 minutes. J’ai par la suite instruit une plaine près le Tribunal d’Oslo qui reste lettre morte. Alors, qu’en est-il lors de l’expédition du courrier en recommandée au dit Tribunal ? Comment les faussetés policières se sont-elles organisées pour bloquer la plainte à Bergen? Le norvégien n’aime pas écouter les mots droit et justice, mais il demeure aussi le premier qui n’aime pas voir progresser quelqu’un, et lui érige de plus, de tout bord des obstacles. Il est souvent uni aux autres autour du faux, et que la victime ne doit s’en plaindre, ni en parler, voire ni en appeler au droit et à la justice.
Cela dit, le jour où je suis allé pour expédier la plaine au Tribunal d’Oslo, la jeune femme qui assurait les services dans « Spar Butikk : Øy Jørden, Lundtorget AS, n° 967 077 615, Tel : 55 95 12 69 », a insinué l’enrégistrement de l’enveloppe. Car elle l’a simplement fichée à l’attention du postier, pour que la plainte n’arrive pas à Oslo. Cette attitude subtile paraissait à l’accoutumée, et qu’au lendemain, le SV-Nestleder (le sécretaire adjoint du Parti Socialiste norvégien de Bergen) psalmodiait sur la Télévision NRK, et en matinée un État-Major se réunit, sans que tous cherchent à savoir pourquoi, j’ai instruit la plainte contre Jørgen et son équipe et les portiers.
Pour ce secrétaire, il faut aller de la leçon du mythe des croyances de Max WEBER pour détourner la réalité, ce qui veut dire une offense qu’une revendication de justice de ma part. Et comme, c’est la méthode collective ici, le contenu de ma plainte a été utilisé par le Fylkeskommunen de Hordaland et un avocat d’Oslo, pour conférer dans l’hotel à Bergen (une brochure était émise pour la circonstance) ; c’est à ce moment-là que les uns et les autres se reveillent sur les droits civiles et politiques des réfugiés comme tout citoyen (brochure). Ce n’est pas étonnant quand une responsable dans une réunion politique à Fana (commune), disait publiquement que les « réfugiés sous mandat du UNHCR sont une boutique aux communes ».
Mais, le rejet de faire justice définit sans détour le comportement escroc et frauduleux de l’administration en place, où tout agent agit rassuré parce que protégé, et que l’illégalité détermine l’injustice, au su du gouvernement et de l’Assemblée. L’on pense que la violation des Droits de l’homme ne concerne uniquement que, quand on enlève la vie à un individu. Mais la violation de la législation nationale et internationale est toute permise : ce que défend cette administration. Ce qui traduit parfaitement égalament la position de l’avocat d’Oslo convié à cette conférence à Bergen. Cela voudrait dire que les hommes politiques eux-mêmes récusent le droit et la justice. D’où ces faits anti-judiciaires marquent la discrimination historique par des pouvoirs publics et privés et d’autres ailes. Ces dernières encouragent impunément le banditisme, la rapine des courriers et l’injustice, quant à scruter la non réception des correspondances en provenance de l’UE.
Il y a eu en décembre 2009, un courrier qui m’est encore refusé sans motif, or l’arrivée du livre m’est bien notifié par STUDIA, notamment avec toute preuve de prendre le livre à la caisse. Cette fois-ci c’est le co-directeur de la Librairie qui me refuse le colis (Le livre d’Alan THOMAS et Giles MOHAN (eds.) (2007): Research skills for policy and development: how to find out fast..., (Los Angeles, California: The Open University in association with SAGE).
Alors, les pouvoirs centraux s’en passent des mesures judiciaires directes pour réprimer l’injustice orchestrée délibérement à cet effet, par la Poste et l’administration nationales. Cette injustice fait lettres de noblesse, en d’autre terme sur des courriers qui me sont de provenance eurocentrale.
Un autre courrier vient de m’être envoyé dans les 15ers jours de novembre 2009, et il n’y a que l’extrême du bout triangulaire de l’endossement de l’envéloppe, qui m’est déposé dans la boîte postale. Ils ont soustrait la partie portant la nomenclature du pays et la philatelie, afin que je ne sache pas la nature du courrier et sa provenance, tout en laissant simplement la date sur le flanc. Dans le temps, c’est Madame la Ministre de l’Éducation nationale qui s’initie, à son tour du contenu de l’envéloppe à partir de Bergen. Elle s’en est inspirée grâce au courrier retourné par l’Institut Européen d’Administration (France).
Il y a un exemple probant qui défrait en sourdine la chronique en matière des bourses aux réfugiés sous mandat du UNHCR, qui sont transformées en dette d’études au lieu de bourses d’études. Les bourses sur lesquelles les directions de bourses escroquent et fraudent aussi les bourses d’équipement par un calcul diabolique ayant effet sur le montant des bourses elles-mêmes. Un usage de faux documents et de faux courriers sont numérateurs (Bergen Lånekassen).
Quelle est cette inhibition intellectuelle ? Il est simple. C’est la méthode d’expropriation qui consiste à empêcher les autres de progresser et de leur bloquer tout dépassement impulsif. La méthode est déjà utilisée maintes fois, et elle est très accentuée sur tout ce que reconnaît, l’article 30 de la Convention des Nations Unies pour le réfugiés du 28 juillet 1951 de Genève. C’est en fait du prendre et du donner plutôt à ces enfants qu’aux ayants droit (www.nytid.no, « praksis må endres », la pratique doit changer). Comment peut-on avaler ces couleuvres sur des violations des accords internationaux?
Le problème est bien cuisant, puisque les presses font des tapages médiatiques soutenant la phagocytose des réalités, tels qu’ils éblouissent l’opinon bercée d’indifférence professionnelle. Ces tapages contribuent égalament au refus du livre commandé chez la Librairie STUDIA de Bergen. Voilà une ségrégation contre mes droits culturels par des intellectuels, qui se sont d’ailleurs inspirés du livre, leur permettant de remplir les rayons de la Librairie en pille d’autres livres ; et qui traitent des mêmes thématiques de politique et de développement sur l’Afrique, tandis que le livre en question m’est physiquement refusé.
Enfin, je voudrais avoir l’honneur de porter à la connaissance de la Directrice Générale de l’UNESCO, d’un peu se pencher sur ces faits, puisqu’une telle discrimination ne saurait pas stimuler la lutte contre l’analphabétisme, qui demeure le chantier d’haleine commun, qu’est « l’éducation de qualité et le développement des compétences utiles » (UNESCO, Projet 2010, 182 EX/16).
Quelle est l’action de l’UNESCO en Norvège? Pourraît-elle aussi tolérer cette espèce de ségrégation d’accès aux outils de recherhce, d’études et de formation? Ces autorités norvégiennes qui excercent cette telle idéologie datée sont-elles à même de me dire, pourquoi elles m’infligent ces méfaits historiques? Pourquoi utilisent-elles des outils informatiques pour me priver de mon droit culturel par mépris et injustice ?
Kaguer NAGUER
Bergen (Norvège)
Tel : +4745912609
Email : barbabili@yahoo.fr